Conversations avec Merlin l’Enchantecœur: 6 – Quand le masculin et le féminin ne font plus qu’un – I

Camille : J’ai l’impression qu’actuellement la relation entre hommes et femmes est mise à rudes épreuves.

Mirjam : J’aimerais d’abord clarifier que le masculin et le féminin sont avant tout des énergies et chacune a son expression propre. Il est important de ne pas les attribuer hâtivement à l’homme ou à la femme. Comme tu sais, chaque être porte en lui ces deux énergies. Tu portes donc en toi l’énergie masculine et féminine tout en étant en apparence dans un corps d’homme. Continuer la lecture de « Conversations avec Merlin l’Enchantecœur: 6 – Quand le masculin et le féminin ne font plus qu’un – I »

Les chants d’AILESIA*: Le Chant de la féminité

Version sonore:
(paroles: Beat, sons: Mélanie)

Texte:

Le chant des Sirènes n’est point pour séduire ou captiver l’homme, c’est le chant des femmes pour honorer la beauté de la Vie. Il est d’une grâce et d’une beauté exquise, inspiré par la Mère divine elle-même qui souffle sa grandeur splendide dans les cœurs des femmes chantantes. Chantons en chœur la puissance de la douceur et la force de l’amour qui englobe toute Vie. Ouvrons-nous à la délicatesse du Féminin sacré en la femme et en l’homme qui s’éveillent à sa splendeur. Continuer la lecture de « Les chants d’AILESIA*: Le Chant de la féminité »

Cheminer vers la Nouvelle Vie – 4: Légèreté

Vous sentez la légèreté quand la vie est pétillante, quand la joie pulse dans vos artères et vos veines. Souvent vous associez cet état de légèreté au jeune âge. Un ruisseau à la montagne dont l’eau sautille d’une roche à l’autre ou coule joyeusement à travers une prairie. Un enfant insouciant qui joue pleinement immergé dans son univers de jeu ou encore un papillon qui voltige entre des végétaux magnifiquement en fleurs.  La légèreté naît de cet état de spontanéité et de pureté, libre de toute charge qu’amènent les soucis, préoccupations ou les émotions teintées de souffrance. Continuer la lecture de « Cheminer vers la Nouvelle Vie – 4: Légèreté »