Et si le virus te mettait face à l’ESSENCE de la VIE – 3 (fin)

Crois-tu au bruit du monde
plutôt qu’au silence du cœur ?

J’aimerais te raconter une petite histoire qui s’est déroulée il y a des éons sur une petite planète surnommée la planète bleue. Des évènements assez incroyables aux yeux des habitants de cette planète s’étaient produits. Voici mon récit :

« Les êtres qui peuplaient cette planète commencèrent à se réveiller massivement d’un sommeil millénaire pendant lequel ils avaient agi aveuglément comme des pantins, en s’éveillant à une conscience plus vaste et en reconnaissant Qui Ils Sont véritablement : des êtres de lumière et universels. Du coup, ils étaient de moins en moins sujets à se laisser influencer voire manipuler comme des somnambules téléguidés par une force extérieure. Ces forces qui agissaient très discrètement dans l’ombre du pouvoir politique et économique officiel commencèrent peu à peu à s’inquiéter car l’éveil en conscience des humains libéraient les Humains progressivement et indéniablement de leur mainmise visant à les maintenir dans des fréquences basses, dans un état narcotisé et inconscient. Leur objectif bien caché était d’avoir un pouvoir et contrôle maximal sur les masses des Humains et de les garder dans une dépendance maximale de leur système financier et économique qu’ils avaient érigé avec le plus grand soin. Tu peux t’imaginer que des êtres qui vivaient en conscience représentaient la plus grande menace à leurs œuvres, car ils ne se prêtaient plus comme pantin. »
Je vois tes yeux incrédules, quand je te raconte cela. Ton bon sens refuse d’y croire car il ne veut pas croire que ce genre de machinations sont possibles, ça dépasse tellement ton imagination.
« Mais c’est exactement le moyen qu’ils utilisaient pour mettre de la poudre aux yeux des gens. Deux de leurs principaux outils stratégiques étaient la peur et la désinformation. Un beau jour, un miraculeux virus est apparu. Les médias et les autorités proclamaient haut et fort que ce virus seraient hautement dangereux et très contagieux. Le deuxième s’avérait être le cas. Étrangement, il s’agissait d’un virus qui n’existait pas avant ces évènements car il était bel et bien la conséquence d’influences humaines. Les médias bombardaient littéralement les gens d’informations générant une peur massive. Les autorités, contraint de prendre des mesures pour limiter sa propagation, restreignirent progressivement les libertés d’action jusqu’à enfermer les gens dans leur case. La seule liberté qui leur restait était de communiquer par une certaine connexion archaïque qu’ils appelaient internet et médias sociaux. Les masses étaient apeurées de telle façon que leur moteur principal était devenu l’angoisse. Ils focalisaient tellement sur ce virus, qui semblait la cause de tout leur mal-être, qu’ils étaient complètement aveuglés et ne virent pas venir le danger éminent qui se présentait à eux dans la blouse blanche du sauveur : l’antidote. Pensant que l’on venait à leur aide et prisonnier de leur peur, ils se jetèrent dans les bras de ceux qui se présentaient comme leurs sauveurs. Sauf que le vrai danger se cachait dans l’antidote qui venait à leur secours. Il causerait des nuisances durables car il contenait des substances nocives à l’organisme humain que ce dernier ne pouvait plus éliminer une fois ingéré. Mais la grande masse des humains, soulagée de leurs scénarios d’horreurs, se jetait littéralement sur l’antidote qui devait sauver la vie. »

Bien sûr, il ne s’agit que d’une petite histoire d’un passé très lointain dans l’histoire de l’humanité. Tu respires et te dis aussi : » Heureusement qu’il ne s’agit que d’une histoire totalement fictive. C’est exactement ce que croyaient les Humains à cette époque-là et c’est bel et bien ce qui rendaient beaucoup d’entre eux aveugles aux enjeux véritables.

Épilogue :
Cet épisode fut pour l’humanité un point tournant. L’éveil de l’humanité dans une conscience de plus en plus élevée et un amour de plus en plus inconditionnel était irrémédiable. Les Humains commençaient à rayonner comme des étoiles sur terre. Ainsi, ce chapitre ne se trouvaient rapidement plus que sur quelques pages d’histoire.